Je prône une pédagogie de ce que j'appellerai " l'interaction" avec des livrets épurements personnels en liens avec les difficultés de chacun. Des cours, des images, des liens avec d'autres arts (quand cela est possible) , mais aussi et surtout des exercices crescendo d'application avec corrigés et explications. L'interaction permet une gratification non seulement pour l'élève en difficulté, mais...
Je prône une pédagogie de ce que j'appellerai " l'interaction" avec des livrets épurements personnels en liens avec les difficultés de chacun. Des cours, des images, des liens avec d'autres arts (quand cela est possible) , mais aussi et surtout des exercices crescendo d'application avec corrigés et explications. L'interaction permet une gratification non seulement pour l'élève en difficulté, mais plus encore pour moi, futur enseignant-chercheur en Littérature Comparée (domaine universitaire, département des Lettres Modernes). Les exercices à faire en complément des cours seront à faire par l'élève à sa guise : seule la motivation est garante de réussite.
Les lacunes, comme dans tous les autres domaines - même sportifs ! -, deviennent quasi inexistantes quant à l'implication totale de l'élève et de sa motivation. Je prône également l'intérêt psychologique : d'où viennent les difficultés en Français ? La peur de participer en cours ? Le fait de se sentir mal dans le lieu scolaire ? Il y a donc aussi une partie, moindre certes, qui consiste à faire progresser l'élève pour et par lui. Il doit n'y avoir aucune frustration : c'est normal de se tromper. Il faut se faire confiance et se dire 'Ok. J'ai fait une erreur, mais je garde en tête la correction, et je ne me dis pas de fausses vérités, je ne me dénigre pas et je persévère."