Eloïs Myotte-Duquet

Aux longs et ennuyeux cours magistraux où le professeur parle pendant des heures et où les élèves prennent des notes jusqu'à ne plus sentir leur poignet, je préfère une pratique bilatérale où l'élève est aussi actif que le professeur : l'oral est, selon moi, tout aussi important que l'écrit (et bien plus utile dans le cas où vous auriez à vous rendre dans un pays germanophone), c'est pourquoi je lui réserve une place de choix dans mes cours. De plus, je privilégie une approche ludique de la langue (jeux d'association, méthodes alternatives et moins magistrales) calquée sur les besoins et surtout les envies de l'élève (ne l'oublions pas, c'est lui le principal acteur !).