Je suis l'ami de l'élève dans son présent et dans son futur.
Il n'y a pas d'élève plus intelligent que d'autres, il y a cependant des élèves qui ne savent pas encore de quel côté frotter la lampe pour faire sortir le génie qui est en eux. Voilà où se situe mon rôle.
On découvre la leçon ensemble, on s'amuse à appliquer et on en profite pour savoir si on a compris. On revient au besoin comprendr...
Je suis l'ami de l'élève dans son présent et dans son futur.
Il n'y a pas d'élève plus intelligent que d'autres, il y a cependant des élèves qui ne savent pas encore de quel côté frotter la lampe pour faire sortir le génie qui est en eux. Voilà où se situe mon rôle.
On découvre la leçon ensemble, on s'amuse à appliquer et on en profite pour savoir si on a compris. On revient au besoin comprendre davantage la leçon, car c'est le propre de notre espèce de ne pas tout comprendre tout de suite. On ne néglige aucune question. puisqu'on n'est pas si bête que ça, on cherche les réponses, parce que si on y croit, on y parvient. On s'entraîne pour développer les bons réflexes, on découvre nos limites, et les mathématiques ne sont pas si difficiles que ça.
Si on y va dans la discipline, tout le monde trouve son compte, probablement très lentement, mais quel bonheur à la fin ! Si par contre chacun fait ce qu'il veut, tout le monde perd, élève et enseignant(e). La confiance de chacun en soi et en les autres est la clé incontournable du succès d'une équipe. Or, élève et enseignant(e) sont une équipe, à laquelle s'ajoute très souvent les parents.
On se respecte, on se comprend, on s'amuse. Même si les choses vont mal, c'est déjà un plaisir de savoir que rien n'est ni parfait, ni imparfait. C'est en aimant les mathématiques qu'on y arrive et c'est quand on y arrive qu'on les aime.