1.) Au début, un temps plus au moins long est consacré à la détente : la relaxation en position couchée permet de passer des activités précédentes à un état de calme intérieur, favorisant l’apaisement du rythme cardiaque et de la respiration.
C’est une entrée en soi, une approche de l’immobilité et du silence, parfois difficile, mais combien nécessaire dans le mode de vie actuel.
Dès le début du...
1.) Au début, un temps plus au moins long est consacré à la détente : la relaxation en position couchée permet de passer des activités précédentes à un état de calme intérieur, favorisant l’apaisement du rythme cardiaque et de la respiration.
C’est une entrée en soi, une approche de l’immobilité et du silence, parfois difficile, mais combien nécessaire dans le mode de vie actuel.
Dès le début du cours, la respiration constitue le repère essentiel et permanent : car sans elle l’exercice perdrait son intériorité.
2.)Il y a divers exercices de Pranayama à des buts bien précis. Par exemple kappalabhati oxygène le corps, Viloma-pranayama nous aide à apprendre à contrôler la respiration, Anuloma-viloma nous permet de mieux nous concentrer et moins écouter le mental en apaisant les émotions.
3.)L'echauffement: On distingue ensuite, selon les styles de pédagogie, divers exercices destinés à préparer corps et mental pour les postures
4.)La quatrième phase, habituellement la plus longue, concerne les postures : on les pratique dans un certain ordre, qui provoque un recentrage et une harmonisation, en même temps physique et psychologique.
5.)la detente finale en Savasana: Il est important, à la fin de la pratique, de rester allongé(e) une dizaine de minutes pour une détente guidé.
Il faut alors garder une immobilité absolue, car esquisser le moindre mouvement recontracte certains muscles et retarde la relaxation intégrale.
L’état de relaxation est impossible à décrire, le corps est oublié et paraît immatériel, on a une sensation étrange et délicieuse de perdre peu à peu conscience et contact avec le corps.