Je suis étudiant en Master d'Histoire. Avant ça, j'ai mené à bien une double-licence Lettres-Histoire : j'hésitais alors entre ces deux matières, mais finalement, ma passion pour la seconde a fini par l'emporter ! Depuis, je rédige un mémoire d'Histoire antique, et je profite de cette pause estivale pour tenter d'aider ceux en difficulté à prendre en main cette matière qui peut parfois se montrer hermétique.

L'Histoire que l'on étudie n'est pas la même selon le niveau d'étude, donc j'adapterai le contenu des cours selon les besoins de chaque élève.

Un collégien ou un lycéen devra suivre le programme scolaire, qui, généralement, est divisé en différentes problématiques auxquelles les élèves doivent être sensibilisés. Pour ce faire, il faudra mettre l'emphase sur la connaissance précise de certains évènements-clés, sur la compréhension de dynamiques et de mécanismes historiques, et enfin aider l'élève à proposer sa propre interprétation des évènements.

Pour les études supérieures, l'étudiant doit pouvoir aborder l'Histoire de manière beaucoup plus globale, puisque ses cours seront divers : cette diversité sera traitée selon le contexte, vulgarisés afin de donner des bases en prévision de possibles cours à venir, ou en profondeur si il en suit déjà. Les goûts personnels prennent également beaucoup plus de place, et peut-être l'aspect le plus appréciable des études supérieures se trouve là : l'étudiant pourra se spécialiser dans un ou des domaines qui le fascine particulièrement. Quoi de mieux que d'apprendre par passion ?

En bref, chaque cours s'adaptera aux besoins de l'élève : étude en profondeur, vulgarisation, spécialisation dans un domaine ou simple apprentissage de faits, la demande fera l'offre.